Pour les Grecs, « aller aux îles », c’est mettre le cap sur les Cyclades.
Des morceaux de montagnes jetés à la mer, à la beauté austère. Les maisons blanches s’y soudent les unes aux autres, entre toits terrasses et dômes des églises. Au large, les pentes s’entaillent de terrasses. Des murets courent ; certains croulent. L’olivier et la vigne prospèrent. Les vallées, finalement, s’ouvrent sur des criques baignées par des eaux limpides.